Dites-nous en plus sur votre implication dans la transition
Je suis une grand-mère qui a toujours porté les valeurs de la transition, et je veux travailler à construire un monde meilleur pour mes petits-enfants, un monde ou ils pourront vivre heureux sur notre merveilleuse planète.
Comment ou par qui avez-vous été mis en contact avec le mouvement de la transition?
Il y a une dizaine d’années, par mon fils Olivier Asselin qui produit des documentaires sur la permaculture et les initiatives au Québec, aux États-Unis et en Europe.
Qu’est-ce que vous aimez du mouvement de la transition?
C’est un mouvement planétaire, un lieu ou des humains créent des liens et tentent de vivre d’une façon qui respecte à la fois la planète et l’Humanité. Mon espoir, c’est que grâce à toutes ces initiatives, grâce à ces milliers de personnes qui portent l’espoir, un point de bascule sera atteint et l’humanité reviendra, en conscience, vers des valeurs humaines et moins mercantiles. Il y a tellement à faire! Et si peu de temps devant nous! Je ne peux m’impliquer dans autant de projets que je le voudrais. Ce qui m’aide c’est la confiance dans les autres qui s’impliquent, dans le mouvement plus grand que les bonnes volontés individuelles.
Quand vous n’êtes pas transitionneur, que faites-vous? Qui êtes-vous?
Être transitionneure, c’est un état pour moi. Parallèlement, je crée des liens et je suis au service des plus jeunes avec mes compétences de formatrice, de coach et d’aînée.
Quels conseils donneriez-vous à quelqu’un(e) qui veut s’impliquer dans le mouvement de la Transition?
Trouver un groupe, des gens qui partagent la même vision et commencer par des actions réalisables, en lien avec d’autres. Oser! S’exposer! Exposer ses idées, ses projets, s’impliquer dans des projets réalisables d’abord. Et prendre soin de soi pour éviter de s’épuiser.